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mercredi 29 avril 2009

L'univers Olni Design, la récup et l'éco-design selon Sylvain Jacob!

Olni design, c'est l'oeuvre d'un artiste-designer, véritable orfèvre de la récup, j'ai nommé Sylvain Jacob.
Ce qui est le plus étonnant chez Sylvain, c'est ce coté touche à tout. Il maîtrise autant les assemblages d'objets glanés un peu partout que la conception de mobilier design en béton ciré par exemple. Luminaires, mobilier, sculptures, tableaux, et bientôt des objets design pour le jardin, Sylvain est très complet dans ses capacités.

 
Nous avons particulièrement flashé sur ses objets design à base de récup (et oui, vous vous en seriez douté, non?!...) qui mêlent avec beaucoup d'aisance le verre, le chrome, l'acier et le bois.
Notamment pour la série de luminaires fétiches de Sylvain, "Les Lucioles", insectes de métal et de verre, dont les formes, tout en rondeur, parviennent à adoucir des matériaux pourtant froids.
Un contraste commun à toutes "Les Lucioles", mais une personnalité différente et bien marquée pour chacune d'entre elle.
Chromes, couleurs, grandes, petites, avec ou sans antennes, le choix est vaste.
Mais Olnidesign c'est aussi des objets éco-design très "vintage" dans leur look, et absolument dans l'air du temps dans leur concept. Il commence à créer ces "lucioles" en 1998 et rapidement il étoffe sa collection.



Sylvain est un fan de déco des années 50, et certaines de ces créations semblent marquées par le cinéma de SF de ces années là! Il y a par exemple cet ensemble de deux mains chromées, qui tiennent des ampoules comme des boules de feu.
J'ai personnellement tout de suite pensé au robot du film " Le jour où la terre s'arrêta" de Robert Wise (1951), les mains semblent provenir de ce robot!


La plupart de pièces employées sont chinées, nettoyées et transformées pour leur offrir une seconde vie, réutilisées dans un procésus créatif qui finalement, donne jour à de superbes objets déco, à la fois rétros et modernes.

En tout cas, nous sommes des fans, et quand nous avons eût la possibilité de travailler avec Sylvain, c'est avec le plus grand plaisir que nous l'avons fait!
Vous pouvez retrouver certaines des oeuvres OLNI Design ( encore une référence à la SF, OLNI c'est pour Objets Lumineux Non Identifiés) sur www.greenorama.fr, notre boutique en ligne. Sylvain Jacob, en expo sur Green-O-Rama!

lundi 27 avril 2009

Où se cachent-ils donc, ces OGM!

Les OGM, ces organismes génétiquement modifiés par l'homme dans le but de les rendre, par exemple, plus résistant à certains produits, se retrouvent dans notre alimentation, et ce directement ou indirectement.
"Dans toute l'acception du terme, un Organisme génétiquement modifié est un organisme vivant (micro-organisme, végétal ou animal) dont le génome a été modifié artificiellement. Cette acception inclut toutes les voies possibles de modification de l'information génétique, allant de la méthode des croisements aux outils du génie génétique"



Ces organismes, dont le patrimoine génétique est modifié à des fins scientifiques ou commerciales sont pour l'instant, des organismes végétaux. Mais de nombreuses expériences visant à développer des races animales génétiquement modifiées sont nombreuses.


"Dès 1985, des chercheurs du ministère de l’agriculture des États-Unis (USDA) réussissaient à générer des porcs sur-exprimant l’hormone de croissance. L'objectif est de créer des animaux plus maigres et plus musclés. L’objectif a été atteint, mais les porcs sont alors plus sensibles à certaines maladies, comme les pneumonies et l’arthrite. Le projet est alors abandonné. Des travaux similaires sont actuellement en cours chez le poisson. Par exemple, en 2001, une compagnie a déposé aux autorités américaines une demande de commercialisation pour un saumon transgénique exprimant un surplus d'hormone de croissance. Ainsi il atteint sa taille adulte plus rapidement, sans toutefois la dépasser. La demande de commercialisation est toujours à l’étude. Toujours en 2001, des chercheurs de l’Université de Guelph ont inséré chez le porc un gène bactérien qui exprime la phytase dans les glandes salivaires. La raison de cet insertion est la nature de cette enzyme qui aide à mieux absorber le phosphore contenu dans la moulée. Contrairement aux animaux polygastriques (ex. vaches et chèvres), les animaux monogastriques, dont les porcs, ne sont pas des hôtes pour les micro-organismes qui sécrètent cette enzyme. Ainsi, pour maximiser leur croissance, du phosphore doit être ajouté à leur alimentation. Conséquemment, le lisier qu’ils produisent en contient beaucoup. Or, ce rejet de phosphore constitue le facteur de pollution principal de la filière porcine"

"Chez la vache, plusieurs modifications ont été effectuées afin de changer la composition de son lait ou d’en augmenter la production. Par exemple, il est possible d’en diminuer la teneur en lactose, qui provoque de l’intolérance chez certains consommateurs [4]. Afin de faciliter la fabrication du fromage, la teneur en caséine peut être augmentée. D’autres modifications visent l’augmentation des oméga-3, considérés bénéfiques pour la santé. La transgénèse permet aussi la production de protéines anti-bactériennes dans les glandes mammaires des vaches, diminuant ainsi l’utilisation d’antibiotiques pour prévenir les mammites (infections des pis).



Les modifications génétiques ne s’appliquent pas seulement aux animaux d’élevage. En effet, depuis 2004 une compagnie américaine commercialise un poisson rouge fluorescent (GlofishMC). Ce dernier exprime un gène de fluorescence provenant d’un corail. Aussi, dernièrement, un lapin fluorescent a été exposé dans un musée européen en tant qu’objet d’art. (souvenez-vous du lapin fluo ALBA!)."



"La Chine a réussi à donner naissance le 22 décembre à des cochons génétiquement modifiés qui expriment les gènes de la fluorescence d’une méduse, devenant ainsi le 4e pays à réaliser cet exploit après les États-unis, la République de Corée et le Japon. Cette découverte secientifique est due à l’équipe de recherche dirigée par Liu Zhonghua, professeur à l’Université de l’Agriculture du nord-est de la Chine, qui avait déjà mis au point le 14 octobre dernier les premiers clones de cochons locaux du nord-est de la Chine à partir de cellules souches.
Pour développer ces cochons génétiquement modifiés, les chercheurs extraient d’abord de la protéine de fluorescence verte d’une méduse spéciale et transplante ensuite ce gène traité dans le génome de fibroblaste du foetus du cochon. Le noyau de cette cellule génétiquement modifiée est ensuite inséré dans l’ovocyte d’une truie dont le noyau a été isolé. C’est ainsi qe l’on obtient un embryon génétiquement modifié que l’on transplante dans la truie. Au bout de 114 jours, des porcelets génétiquement modifiés fluorescents verte naissent."

 
 


Le risque de pollution génétique est réel, imaginez des milliers de ces petits poissons fluo, rejetés dans des cours d'eau et frayant avec ceux de leur espèce n'ayant pas été modifiés...
Beaucoup de grandes marques de l'industrie alimentaire utilisent des végétaux OGM dans la nourriture qu'elles fabriquent.
Greenpeace met à disposition un guide qui recense les produits alimentaires dont les OGM entrent dans la composition. Green-O-Rama juge utile de diffuser ces informations, vous trouverez ce guide à cette adresse là, n'hésitez pas à le télécharger. 

samedi 25 avril 2009

Et si une bouteille d'eau pouvait être 100 % végétale!...

Une bouteille d'eau 100 % végétale, ça vous parle? on a découvert ça aujourd'hui durant notre balade sur le net!explications tout de suite:
"L'incohérence entre la pureté de l'eau et son contenant extrêmement écotoxique m'a toujours préoccupé", explique Pascal Bastien. Le fondateur de Vegetal amp; Mineral Water a donc lancé un projet de bouteille 100% d'origine végétale. Une usine pour la fabriquer est en cours de construction à Bourbonne-les-Bains, en Haute-Marne. La production devrait débuter cet été.En quoi est faite cette bouteille conçue en collaboration avec l'Ecole supérieure d'ingénieurs en emballage et conditionnement de Reims ? Pour le bouchon, un dérivé de la fécule de pomme de terre est utilisé. L'étiquette en acétate de cellulose tient elle grâce à une colle végétale. Quant au corps du contenant, il est en acide lactique polymérisé issu du maïs.Principal défi technique déjà réussi : la transparence. Des études sont encore menées pour permettre l'embouteillage d'eau pétillante. Mais ce projet français a un avantage sur des modèles similaires déjà existants aux Etats-Unis : il est garanti sans maïs OGM.
L'objectif est de produire, d'ici à 2012, 3 millions de bouteillespar an. Un marché de niche avant tout destiné aux magasins biologiques, à l'hôtellerie-restauration."
Alors ce projet...convaincu ou pas? on attend vos réactions...

vendredi 24 avril 2009

La premiere centrale electrique hybride !

On connaissait déjà l'engouement de l'Allemagne face aux éoliennes et bien un nouveau projet est né , lisez plutôt l'article que nous avons trouvé dans la presse:
La chancelière Angela Merkel a posé cette semaine la première pierre de la centrale de Prenzlau, au nord de Berlin. 3 éoliennes sont le coeur de cette petite centrale tout à fait inédite... En fait, vous allez voir, c'est une idée toute simple, de bon sens, qui permet de rendre l'éolien plus attractif. Vous savez qu'on ne peut pas stocker l'électricité, ou alors très difficilement. Or, s'il y a du vent la nuit, quand personne n'a besoin du courant, c'est de l'énergie qui se perd. Voilà donc l'idée de cette centrale de Prenzlau. La nuit, quand les éoliennes tournent, elles vont servir à fabriquer de l'hydrogène. C'est simple, il suffit d'avoir de l'eau, et de l'électricité. On stocke l'hydrogène, qu'on garde pour les périodes sans vent. Et quand arrive le calme plat, on prend l'hydrogène, on ajoute un biogaz fabriqué par des producteurs de maïs de la région, on brûle le tout dans une petite centrale classique, un moteur, un alternateur, et voilà de l'électricité fabriquée aussi par calme plat. Le vent de la nuit, valorisé pour produire du courant quand il n'y a plus un souffle d'air. On comprend tout de suite qu'on va pouvoir améliorer le rendement de l'éolien. C'est simple, pas très cher : là, c'est une centrale à 21 millions d'euros... et si ça marche bien, c'est une idée qu'on pourrait appliquer à toutes les éoliennes.Les allemands sont déjà les champions d'Europe des éoliennes? Oui, même si l'éolien y a connu l'an dernier une petite baisse de régime, les allemands restent incontestablement les leaders de l'Union Européenne.. et le chiffre d'affaire du secteur provient d'ailleurs à 82% de leurs exportations. Rendre ainsi les fermes éoliennes plus rentable, cela pourrait booster encore davantage leur industrie, et permettrait d'atteindre plus facilement les 20% d'énergie renouvelable que l'Europe impose pour 2020. 
 Qu'en pensez vous? pas mal l'idée non?...

jeudi 23 avril 2009

Quelques astuces pour mieux choisir ses cosmétiques bio!



Pour l'article du jour, Green-O-Rama fait le point sur la cosmétique bio et se propose de vous aider à mieux choisir.
En terme de cosmétiques, comme pour bien d'autres choses d'ailleurs, les produits bio sont gage de qualité et de respect de votre santé mais aussi de l'environnement.



Mais qu'est ce qui fait qu'un cosmétique est vraiment bio?
"Ce que l’on appelle communément les cosmétiques bio désigne une famille de produits contenant un maximum d’ingrédients naturels, issus du règne végétal comme les huiles d’olive, d’amande ou d’argan, le karité ou encore les extraits de fruits, les huiles essentielles et les eaux florales.

Les fabricants s’interdisent par ailleurs d’utiliser des substances indésirables :

1) Les silicones synthétiques (non biodégradables), les parfums de synthèse, les colorants et pigments de synthèse.

2) Les conservateurs trop puissants c'est-à-dire détruisant la flore cutanée naturellement protectrice ou réputés allergisants.

3) Les matières premières non renouvelables comme les huiles minérales, paraffinum liquidum, qui sont des résidus de la pétrochimie.

4) Les ingrédients obtenus par des procédés de fabrications non respectueux de l’environnement et les matières premières supposant la mort d’un animal.

Enfin, les produits ne sont pas testés sur des animaux vivants mais sur des personnes volontaires."



Donc pour qu'un cosmétique puisse vraiment être qualifié de "bio", il doit correspondre à ces critères, sinon, son appellation "bio" est peut-être un argument de vente un peu fallacieux.
Oui, mais comment savoir?
Et bien pour commencer, il est important de ne pas faire confondre un produit estampillé "naturel" avec un produit "bio", ces derniers étant les seuls à bénéficier d'agréments labellisés qui protègent mieux le consommateur, c'est à dire vous et moi!
"Le label bio garantit à 95 % l'origine biologique des ingrédients utilisés et l'absence de substances chimiques dans leur élaboration.
Les labels qui garantissent un produit cosmétique bio sont mentionnés sur l'emballage, il s'agit de rechercher les logos : Nature et progrès, Ecocert, Cosmétique contrôlée BDIH, Cosmebio.
Les emballages portant ces vignettes respectent les règles fixées par les cahiers des charges relatifs à ces produits. Ceux-ci sont très rigoureux et imposent des végétaux provenant de l'agriculture biologique dans la fabrication des produits de beauté."
Mais attention tout de même, car chaque pays respecte un cahier des charges différent quant à la certification bio, même si tous sont d'acord sur les grands principes du bio. Recherchez plutôt les emballages qui possèdent les labels suivants:
Nature et progrès, Ecocert, Cosmétique contrôlée BDIH, Cosmebio.



Un cosmétique bio est donc 100% naturel?
Pas tout à fait, "tous ces logos garantissent l'absence de colorants et produits de synthèse, de dérivés pétrochimiques, silicone, parabènes et phénoxyéthanol ou OGM. De même, les emballages respectent l'environnement et sont recyclables. Seulement 5 conservateurs sont autorisés dans la fabrication des cosmétiques bio."
"La principale différence entre la composition des cosmétiques bio et celle des cosmétiques conventionnels réside dans l’excipient.

Un cosmétique est constitué majoritairement de cette base, chargée de véhiculer les principes actifs responsables des effets souhaités pour la peau (lissant, raffermissant, etc).

Dans un produit bio, ce sont des ingrédients naturels comme les huiles végétales d’argan, de noisette ou d’amande, les beurres de karité qui jouent ce rôle.

Or ce sont de véritables mines de vitamines et d’acides gras essentiels qui agissent en synergie avec les actifs naturels ajoutés au produit. Certains cosmétiques bio contiennent jusqu’à 95% de principes actifs !"



La cosmétique bio est-elle plus efficace que la cosmétique conventionnelle?
Elle n'est pas plus efficace à proprement parler, mais elle ne l'est pas moins, et surtout, elle est respectueuse de l'environnement et de votre santé car elle est exempte de certaines molécules synthétiques peu recommandables, comme les parabens, les éthers de glycol, les sels d’aluminium, le triclosan ou encore les phtalates.
Attention tout de même aux huiles essentielles, qui ne sont pas mauvaises pour la santé, mais qui doivent être bien dosées, ce qui est le cas avec la plupart des marques de cosmétiques bio. Elles peuvent aussi causer des allergies, mais les cas sont rares, et la cosmétique conventionnelle ne met pas à l'abri de ce genre de problèmes.
Des astuces pour mieux comprendre et mieux consommer, nous voilà un peu plus éclairés sur les cosmétiques bio.
Pour celles (et ceux) qui voudraient plus de renseignements, femininbio.com à publié un dossier complet très intéressant, ainsi que le site "plurielles.fr" qui offre un petit article très sympa sur le sujet.

mercredi 22 avril 2009

Des astuces pour vivre Green, le jour de la terre et les autres jours!

Aujourd'hui c'est donc "le jour de la terre", comme tous les 22 avril depuis 1970.
Il est vrai qu'en France, ce mouvement est malheureusement très peu suivi, est c'est bien dommage.
Pour ce jour un peu spécial, nous vous proposons une série de petits gestes, simples mais efficaces, pour participer à la sauvegarde de notre lieu de vie, j'ai nommé la Terre, car nous n'en n'avons pas d'autre de rechange. Alors, tous pour l'environnement, voici quelques trucs pour vivre un peu plus "Green"!

"-Les transports en commun

Les transports en commun consomment 5 fois moins d'énergie par passager qu'une voiture, sachant qu'un bus transporte environ 50 passagers. De plus, vous irez bien plus vite en prenant le métro qu'en restant bloqué dans les embouteillages.

-A pied, à vélo, en rollers...


Définissez pour vous-même un rayon en deçà duquel vous ne prendrez pas la voiture pour privilégier les déplacements à pied, à vélo, voire en rollers. Evitez de prendre votre voiture pour un trajet de moins de 2 km : un quart des déplacements est inférieur à 1 km, et le premier kilomètre pollue 2 fois plus que les autres. La consommation ne redevient normale qu'entre le troisième et le sixième kilomètre. De plus en plus de villes développent la mise en place de pistes cyclables, profitez-en !

-Les déplacements longue distance

Pour les déplacements d'une ville à l'autre, privilégiez le train : c'est moins cher, moins fatigant, moins dangereux et beaucoup moins polluant que la voiture.

Ne prenez l'avion qu'en dernier recours : un avion émet 300 fois plus de gaz carbonique que le train sur une même distance !

-La voiture

La voiture constitue la première source de pollution de l'air urbain. Cette pollution est responsable de la dégradation des monuments historiques mais aussi et surtout des pluies acides qui détruisent les forêts, acidifient lacs et rivières, et attaquent les productions agricoles. Elle est aussi la cause de nombreuses maladies pulmonaires.

-Location, covoiturage et carsharing

Avant d'acheter une voiture, calculez en fonction de vos besoins si les locations longue durée que proposent les constructeurs, ou bien des locations courte durée, ne seraient pas plus rentables.

Vos voisins et collègues prennent leur voiture pour aller au même endroit que vous : vous pouvez vous organiser entre vous pour du covoiturage, ou bien rechercher une association qui le propose.

Pensez au carsharing : il s'agit de se regrouper entre particuliers pour acheter un ou plusieurs véhicules et les mettre à disposition du groupe. Il existe aussi des sociétés de carsharing. Ce système s'avère rentable pour ceux qui roulent moins de 10 000 km par an.

-A l'achat

Choisissez un véhicule adapté à vos besoins. Le 4X4 est rarement nécessaire ! Quant au diesel, si vous ne roulez pas plus que la moyenne, il coûtera plus cher à l'achat et ne sera pas forcément amorti sur la consommation et la durée. Seuls les diesels haut de gamme disposent actuellement de filtres à particules efficaces, qui les rendent moins polluants. Attention toutefois à la façon dont sont traités ces filtres en fin de vie. Les étiquettes CO2 indiquent la consommation de carburant et le niveau d'émission de CO2. Vous les trouverez chez les concessionnaires pour chaque voiture exposée. Les véhicules classés A sont les plus économes et les moins polluants.

Vous pouvez également vous informer sur les motorisations plus propres, telles que les véhicules GPL, électriques, hybrides (essence et électricité), au gaz naturel, etc. Sachez que même s'il consomme de 10 à 25 % de plus qu'un carburant classique, le GPL coûte 2 fois moins cher à l'usage.

Le saviez-vous ? Rouler avec au moins un passager (au lieu de conduire seul 90 % du temps) revient à réduire son empreinte écologique totale de 10 %.

-Conseils pour une conduite plus économe et moins polluante

Roulez tranquillement : une conduite souple ménage à la fois les passagers et l'essence. Anticipez accélérations et freinages, évitez sur et sous-régime, et vous réduirez votre consommation de 20 à 40 %.

Démarrez sans utiliser la pédale d'accélérateur et roulez calmement afin que votre moteur soit mis progressivement à température.

Rouler les fenêtres ou le toit ouverts peut provoquer une augmentation de la consommation de 5 %.

Evitez de charger inutilement la voiture, surtout sur le toit. Le surcroît de consommation provoqué par un porte-bagages chargé peut aller jusqu'à 40 %. Placez de préférence les bicyclettes à l'arrière plutôt que sur le toit.

Coupez le contact en cas d'arrêt prolongé (à un passage à niveau par exemple) pour éviter consommation, bruit et pollution.

Lorsqu'il fait froid, il est inutile de laisser tourner son moteur à l'arrêt. Cela ne fait que polluer un peu plus. Il acquerra de toute façon plus vite sa température de croisière en roulant.

N'utilisez les accessoires électriques (dégivreur vitre arrière, climatisation...) que lorsque c'est vraiment nécessaire. La climatisation tournant à plein régime peut faire grimper la consommation de 30 %.

Ne jetez rien par les fenêtres de votre voiture et ne laissez pas vos passagers le faire. Une cigarette jetée par la portière d'une voiture, par exemple, s'avère aussi dangereuse qu'un réchaud à gaz ou un barbecue. Laissez-la dans le cendrier.

Les jours de canicule ou de pics de pollution, ne prenez la voiture que si vous ne pouvez pas faire autrement, et réduisez votre vitesse.

-L'entretien



Un bon entretien de la voiture peut réduire la pollution de 20 % et la consommation de 10 %.

Contrôlez régulièrement la pression des pneus : sous-gonflés de seulement 0,3 bar, ils augmentent la consommation de 3 %, s'usent plus vite et deviennent dangereux.

Les batteries, pneus usagés, huiles de vidange, etc., peuvent être déposés en déchetterie et dans les points de collecte adaptés (chez votre vendeur). Jetés dans les égouts, éviers, etc., les acides de batteries provoquent des pollutions durables au plomb.

Le lavage au jet d'une voiture consomme 100 à 200 l d'eau potable. En prenant quelques seaux d'eau et une éponge, vous en utiliserez 10 fois moins. Evitez au maximum les car-wash.

Il existe maintenant des centres de démantèlement des véhicules hors d'usage. On peut en récupérer les métaux ferreux et non-ferreux. Les éléments dangereux (batteries, liquides divers, pots catalytiques...) sont également récupérés et valorisés." A vous la conduite écolo !

Donc, conduire moins- 20km de moins par semaine (vélo, covoiturage, marche) élimine 450 kg de dioxyde de carbone (CO2) par an, et entretenir votre voiture- l'huile propre et les pneus bien gonflés, élimine 500 kg de CO2 par an. De plus, pour ceux qui peuvent, bien entendu, un véhicule hybride ou électrique élimine 2800 kg de CO2 par an.

-Eclairer light
Remplacer trois ampoules incandescentes par des ampoules fluorescentes aux ampoules de votre maison et d'éliminer 150 kg de CO2 (dure plus longtemps, moins de brûlures).

-Recycler 
La moitié de recyclage de l'aluminium, du verre, du plastique et du papier que vous utilisez réduit de 1200 kg le CO2.

-Achat d'énergie verte  
Si elles sont disponibles dans votre région, l'achat d'énergie verte à 100% réduit de 1900 à 3100 kg de CO2 dans l'atmosphère.

-Construire durable et utiliser l'énergie solaire 
Lors des rénovations ou de la construction d'une nouvelle habitation, l'utilisation écologique des matériaux et l'énergie solaire (utilisation de crédits d'impôt) réduit de 500 à 3000 kg le CO2.

Non à la climatisation ou au chauffage excessifs Si vous baissez votre appareil de chauffage ou augmentez l’air conditionné de trois degrés, 500 kg de CO2 par an.

-Lavez-Cool  
Deux charges de lessive par semaine à l'eau froide ou tiède au lieu du chaud (et séchage à l ‘air libre quand vous le pouvez), mettez 250 kg de CO2 par an de coté.

-Achetez intelligent 
Réfrigérateurs et autres appareils pour économiser de l'argent, ainsi que 500 kg de CO2 par an."


Et Voilà, on vous souhaite chez Green-O-Rama, un très bon "jour de la terre"!

mardi 21 avril 2009

Le jour de la Terre, c'est demain!



"Le Jour De La Terre", évènement qui a lieu tous les 22 avril depuis 1970, date de sa création, marque tous les ans l'anniversaire de la naissance du mouvement environnemental tel qu'on le connaît aujourd'hui.

"Le jour de la Terre (22 avril) fut célébré pour la première fois le 22 avril 1970, lorsque le sénateur américain Gaylord Nelson encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l'environnement dans leurs communautés.
Gaylord Nelson, sénateur du Wisconsin, a proposé la première protestation environnementale d'envergure sur le territoire américain pour secouer l'établissement politique et forcer l'insertion de la problématique environnementale à l'agenda national. « C'était un pari », se rappelle-t-il, « mais cela a fonctionné »[1]. En effet, ce premier Jour de la Terre a mené à la création de l'agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA) et à l'adoption de la loi « Clean Air, Clean Water, and Endangered Species ». En 1990, sous l'égide de l'environnementaliste américain Denis Hayes, le Jour de la Terre est devenu un événement planétaire, mobilisant 200 millions de personnes dans 141 pays et jouant un rôle de levier pour les enjeux environnementaux globaux. Le Jour de la Terre a donné une poussée énorme aux campagnes de sensibilisation à la réutilisation et au recyclage et a aidé à préparer le terrain pour le Sommet de la Terre des Nations Unies à Rio de Janeiro en 1992.
Au Québec, c'est depuis 1995 qu'on le célèbre en organisant toutes sortes d'activités de sensibilisation face aux enjeux environnementaux. Le Jour de la Terre fait résonner haut et fort le message que des citoyens de toute la planète souhaitent une action rapide et décisive en faveur de l'énergie propre.
Aujourd'hui, plus de 500 millions de personnes dans 184 pays passent à l'action chaque année dans le cadre du Jour de la Terre. Au fil des ans, le Jour de la Terre est devenu l'événement participatif en environnement le plus important de la planète."

Pour l'évènement, la NASA va diffuser des images de la planète prises depuis la Station spatiale internationale. L'occasion de découvrir par exemple 16 levers et couchers de soleil dans une même journée.

"Les membres de l'équipage de la Station spatiale internationale, l'ISS, donnent rendez-vous aux internautes le 22 avril avec une livraison exceptionnelle d'images de la planète vue du ciel.
Chaque jour, l'ISS fait le tour de la planète Terre toutes les 90 minutes. Un point de vue sans équivalent terrestre qui permet de découvrir 16 levers et couchers de soleil chaque jour.
Pour voir les clichés proposés pour l'occasion en haute définition, rendez-vous sur le site de la Nasa le 22 avril de 12 heures à 15 heures, de 18 heures à 20 heures et de 22 heures à 1 heure du matin."

Soyez prêt pour le rendez-vous de demain, pour Cette journée de réflexion environnementale qui entend rendre les êtres humains conscients des différents enjeux climatiques qui les attendent.

lundi 20 avril 2009

Les incinérateurs de déchets, une solution de traitement écologiquement très discutable.


En France, c'est encore l'incinération des déchets ménagers qui reste la solution la plus utilisée pour traiter ces derniers.
Néanmoins, les problèmes et dangers écologiques liés à l'utilisation de telles technologies sont importants, l'incinération est un procédé très discutable en terme d'impact écologique.

En effet, nous sommes en France, le pays européen qui possède le plus d'incinérateurs, avec un parc de 128 unités d'incinération qui brûlent 40 % des déchets domestiques . Cette méthode de traitement représente encore la première filière d'élimination des déchets ménagers.
De la combustion des déchets, naissent de nombreux gaz qui soulèvent des inquiétudes.

"Une directive européenne datant de 2000 a considérablement réduit les émissions de polluants des usines d'incinération, et il est établi depuis 2005 par l'INVS que les incinérateurs modernes ne contaminent pas leurs riverains à la dioxine.

Mais les dioxines rejetées par les vieux incinérateurs sont persistantes et sont encore retrouvées dans les sols aujourd'hui. Des teneurs élevées en dioxine ont été relevées dans les produits d'origine animale, notamment les œufs de poule, sur des sites proches d'anciennes usines d'incinération.



Un lien entre présence d'incinérateur et cancer a été établi par l'équipe de Jean-François Viel, lors d'une étude sur l'incinérateur de Besançon et ses riverains. Elle concluait à "un excès de sarcomes des tissus mous et de lymphomes malins non hodgkiniens (maladies du sang par la prolifération maligne de cellules dans tout l'organisme, ndlr), entre 1980 et 1995, chez les riverains de cette usine ayant rejeté dans l’atmosphère des fumées dont la teneur en dioxines allait jusqu’à 16,3 ng I-TEQ/m3 (valeur limite légale tolérée : 0,1 ng/m3)" explique l'INVS.

Concernant l'incinérateur de Gilly-sur-Isère, des élus et un médecin du village "ont signalé à l’administration publique un nombre de cancers perçu comme étant anormalement élevé. Les analyses chimiques qui ont été réalisées, révélant des concentrations élevées de dioxines, ont entraîné la fermeture de l’incinérateur puis l’abattage massif du bétail et le retrait des produits alimentaires et du foin contaminés".

Le lien de cause à effet entre les cas de cancer en excès et les quantités élevées de polluants émis par les incinérateurs n'a pourtant pas été officiellement établi. "Toutefois, en regard de l’incertitude sur les temps de latence d’apparition des cancers, on ne peut exclure que les expositions passées depuis les années 70 puissent encore aujourd’hui favoriser la survenue de cancers" déclarait l'INVS."



Selon Greenpeace, les nouvelles normes en vigueur depuis 2005 en matière d'incinération de déchets et de rejets de dioxines, ne sont respectée par aucun des centres incinérateurs:

"Au regard du maximum de 0.1ng/m3 retenu par la nouvelle norme européenne pour les émissions de dioxines, déjà appliquée aux nouvelles installations et applicable à toutes en 2005, aucune installation de moins de 6t/heure et moins d'un quart des plus de 6t/heure y sont conformes.

En matière de dioxines, la persistance et la bioaccumulation font que, de toute façon, ces normes ne nous protègent pas contre une contamination de la chaîne alimentaire. De plus, si elles réduisent les émissions de dioxines, elles n'ont aucun effet sur la production de dioxines ; et c'est bien à l'élimination de la production de dioxines qu'appelle la Convention de Stockholm.

Plutôt que de dépenser des sommes supplémentaires à mettre en conformité 80% du parc français (avec des surcoûts de 30% à 60% selon les installations), il vaudrait mieux fermer progressivement ces incinérateurs et développer des alternatives non polluantes et durables de gestion des déchets."

Selon Greenpeace encore, "Le recyclage économise plus d'énergie que l'incinération n'en produit. Ainsi, si les Etats-Unis brûlaient tous leurs déchets ménagers dans des incinérateurs, cela produirait à peine 1% des besoin énergétiques du pays. Deux études menées aux Etats-Unis, en 1993 et 1994, ont indiqué que si les matériaux actuellement recyclables étaient recyclés au lieu d'être brûlés dans des incinérateurs, on pourrait économiser trois à cinq fois plus d'énergie."

En tout cas, chez Green-O-Rama, nous pensons que la réutilisation et le recyclage des déchets est uns excellente solution pour, au moins, limiter l'impact dû au traitement de ces derniers, mais aussi pour limiter les coûts en terme d'énergie et de polution, pour la production de matériaux neuf!
Comme on le dit toujours, vive le recyclage!

samedi 18 avril 2009

Quand des bouteilles d'eau chauffées au soleil remplacent l'electricité!

Eclairer un garage, une pièce sombre,... et tout ça sans électricité, cela vous paraît impossible? et pourtant.... un village situé au Brézil semble pouvoir arriver à éclairer avec de simples bouteilles d'eau... et tout ça grâce au soleil! alors oui certains diront que cette invention est un peu farfelue,mais bon ça a l'air de fonctionner la preuve en image tout de suite! et si vous voulez plus de renseignements vous pouvez toujours vous rendre sur le site de lifehacker
bon week-end ensoleillée à tous!!!

jeudi 16 avril 2009

Green-O-Rama la boutique de l'éco-design de la mode et de la création éthique

Alors voilà, on nous a dit que notre Show-room était un peu difficile à trouver, et pour remédier à la situation,
un petit post s'imposait, histoire d'y voir un peu plus clair et de trouver son chemin jusqu'à nous.
Donc pour ceux qui suivent le blog et qui veulent venir nous voir, explications!
La première chose à faire, c'est de trouver le Palais des expositions. C'est pas très difficile, c'est indiqué partout. En principe, jusque là tout va bien.
Une fois sur l'avenue dite " avenue du Palais des expositions", vous passez devant le dit bâtiment, et si vous êtes dans le bon sens il doit être sur votre gauche.
Vous continuez jusqu'au grand rond point, et vous prenez la route en face ( il y a un pépiniériste, passez devant) , direction Bompas, continuez sur cette jolie petite route qui porte bien des noms ( avenue du Palais des expositions, ancienne route de Bompas, route de Bompas ou encore, ancienne route de Toreilles, mais officiellement elle porte le doux nom de D31, je sais c'est moins joli mais au moins pas d'erreur possible) .
Faites environs 4 Km et une centaine de mètres avant d'entrer dans Bompas, sur votre gauche, vous trouverez une friche industrielle, dans laquelle il y a un théâtre ("La Boite à Rire", les gens de Perpignan doivent connaître), une école de danse ( As en Danse) et les ateliers "Médiane" où l'on donne des cours de peinture et de sculpture.
Donc nous sommes là, entourés d'activités artistiques diverses et de personnes très sympatiques!
Alors maintenant, plus d'excuses et à très bientôt au show-room Green-O-Rama, pour partager un bon  moment autour d' un petit café...
Venez donc découvrir tous les créateurs, les éco-designers et les artistes qui sont exposés au show-room et voir en vrai les objets qui sont sur le site www.greenorama.fr , notre boutique en ligne!
Le show-room est ouvert du lundi au samedi de 14h30 à 19h30, et le matin sur rendez-vous, que vous pouvez prendre en appelant le 04 68 57 78 69 ou par mail greenoramashop@yahoo.fr


mercredi 15 avril 2009

Tolemy Elrington, art et récup pour des scultptures époustouflantes!

 
Tolemy Elrington, vous connaissez? Et bien nous avons découvert, grâce à Virginie,
ce véritable artiste, un Britannique âgé de 43 ans, et je dois dire que nous sommes vraiment tombés sous le charme.


C'est en récupérant de vieux chariots de supermarché abandonnés, jetés dans les rivières ou dans des terrains vagues, mais aussi toutes sortes de déchets métalliques, pièces automobiles et autres, qu'il commence son travail d'artiste.

Ptolemy Elrington produit de véritables oeuvres, des sculptures représentant des dragons, dauphins ou chiens d’un surprenant réalisme.


Pour ces animaux composés d’enjoliveurs de voitures récupérés les uns après les autres au bord des routes anglaises, le sculpteur ne fait payer pratiquement que sa main d’oeuvre, n’ayant guère de dépenses.
"Vous pouvez acheter ces étranges animaux semblant sortir d’un univers fantastique pour déjà quelques centaines d’euros.

Un dragon, l’oeuvre la plus imposante de Ptolemy Elrington, a trouvé un acheteur à 3.500 euros. Il mesure une dizaine de mètres de long et il a fallu un mois de travail pour assembler les 200 enjoliveurs de récupération qui le composent."
Mais le mieux, c'est encore que vous découvriez les photos de ces sculptures monumentales et métalliques, vous verrez, ça vaut vraiment le coup d'oeil!

 



mardi 14 avril 2009

des vêtements solaires pour le futur!

Bonjour à tous! Alors après ce long week-end de pâques 100% détente ( oui de temps en temps nous en avons aussi besoin..) et qui nous l'espérons l'a été pour beaucoup d'entre vous, petit post pour relayer une info lue dans la presse: l'intégration de cellules photovoltaïques dans nos vêtements! il est vrai que quand nous sommes tombés sur l'article nous sommes restés un peu septiques et nous avons cherché à en savoir plus mais hélas pour l'instant nous n'avons pas trouvé grand chose sur ce projet alors il faudra se contenter des infos relatées dans l'article qui suit...attention c'est partit: "Des chercheurs du monde entier travaillent actuellement sur des solutions techniques pour intégrer de véritables cellules photovoltaïques dans nos vêtements. Elles permettront de créer de l'énergie solaire sur des supports mobiles. L'armée américaine est particulièrement intéressée par ce type de technologie.Dans ce domaine de recherche très pointu, on parle de technologie nomade. Produire de l'énergie solaire sur le toit des maisons ne suffit plus. Dans quelques années, chacun d'entre eux pourra sans doute se transformer en véritable panneau solaire ambulant, grâce à des cellules photovoltaïques imprimées directement sur les tissus qui composent nos vêtements. Reste à mettre au point les cellules à intégrer en question.Une cellule photovoltaïque organique doit être composée de deux couches : l'une qui ne demande qu'à donner des électrons, et l'autre qui cherche à les attraper, le receveur. Dès qu'un rayon de soleil est envoyé sur la cellule, les électrons sautent d'un pôle à l'autre, créant du courant électrique. Des molécules semi-conductrices ont été découvertes dès la fin des années 70. Mais il a fallu attendre la fin du XXe siècle pour arriver à des rendements de l'ordre de 1%. Les équipes de recherche les plus avancées travaillent désormais sur des molécules avec un rendement de 5%.La concurrence vive est très vive dans ce domaine entre chercheurs européens, japonais et chinois. La société américano-autrichienne Konarka travaille elle en partenariat avec l'armée américaine, qui cherche à doter ses soldats d'une autonomie énergétique sur le terrain. Mais de telles cellules photovoltaïques nomades pourraient être intégrées partout : dans les vêtements, dans les emballages, les peintures ou encore sur des écrans flexibles."
Donc maintenant comme on l'a dit plus haut, ce projet n'est qu'au stade de l'étude! reste à voir les avancés ... Affaire à suivre!

samedi 11 avril 2009

Piet Hein Eek, slow design et scrapwood.

Le designer hollandais Piet Hein Eek est un ancien élève de la Design Academy d'Eindhoven. Designer de la récup et du slow design, il créé des fauteuils et des meubles en utilisant, par exemple, des planches de récupération. Veritable expert de la technique du "scrapwood" (collage de planches de récup), sa production de meubles en toute petite série s'arrache aux Pays Bas ou Piet Hein Eek est désormais un designer de premier Plan. Les imperfections de ses morceaux de bois de récupération confèrent à ses créations histoire et supplément d'âme. "L'idée est que tout a sa propre histoire. On peut voir, à quoi chaque planche a servi. Cela donne une histoire au meuble, que l'on ne peut pas créer."
Un design très "nordique", aux antipodes des lignes imaginées par les designers venant du sud de l'Europe.
Loin des objets jetables, les pièces imaginées par PHE sont du genre responsable. Elles utilisent principalement des matériaux recyclés ou des composants venant de sources renouvelables.
Mieux que les longs discours le mieux, c'est encore de voir les photos!

mercredi 8 avril 2009

Sortie dès aujourd'hui du film "Nous resterons sur terre"


C'est aujourd'hui que sort dans les salles le long métrage réalisé par OLIVIER BOURGEOIS ET PIERRE BAROUGIER, "Nous resterons sur terre."
Un film sur la prise de conscience lente, mais nécessaire à la survie de l'être humain, de plus en plus déconnecté de son environnement naturel.
Mais qui sont les deux hommes passés derrière la camera pour le tournage du film?

Diplômé de l’école Louis Lumière, Pierre Barougier travaille comme assistant opérateur sur plusieurs longs métrages dont La Jeune fille et la mort de Roman Polanski et Tout le monde dit I Love You de Woody Allen. Directeur de la photographie de nombreux clips, publicités et courts métrages, il assure en 2002 la photo du premier long métrage de Marina de Van Dans ma peau. Depuis, il s’est consacré à la réalisation de films documentaires dont Radio la Colifata primé au festival de l’UNESCO et, plus récemment, Hors les murs, Grand Prix EBS de l’International Documentary Festival de Séoul (2006) et Prix spécial du jury au Festival International du Film d’Environnement de Paris.

Quant à Olivier Bourgeois, après diverses expériences, dont dix ans dans le domaine de la communication, il décide de se consacrer à sa passion : faire des films. Nous resterons sur Terre est donc son premier projet.

Pour les cinéphiles, sachez aussi que le monteur du film n'est autre que NIGEL GALT, qui doit sa renommée à ses collaborations avec Stanley Kubrick. D’abord sur Full Metal Jacket en 1987, où il assure le montage son, puis en 1999, sur Eyes Wide Shut où il est en charge du montage image. Il a par ailleurs collaboré sous ces différentes casquettes à de nombreuses productions anglaises et nord américaines.



Pierre et Olivier s'appuient sur une suite de constats pour construire l'argument de leur film, les changements climatiques inquiètent, les espèces s'éteignent, les ressources s'épuisent, les villes s'étendent.
C'est donc à travers un jeu de miroirs et de contrastes entre cette nature miraculeuse et l'obsession de l'homme à vouloir la dompter, que "Nous resterons sur Terre" regarde la planète d'aujourd'hui dans les yeux et dresse l'état des lieux d'une harmonie qui vacille. Pouvons-nous inverser le cours des choses ? Le voulons nous vraiment ?



Vous retrouverez tout au long du film quatre spécialistes, l'environnementaliste James Lovelock, le philosophe Edgar Morin et les Prix Nobel de la Paix Mikhaïl Gorbatchev et Wangari Maathai, ce film laisse à chacun la liberté d'évaluer le degré d'urgence sur une seule certitude : Nous resterons sur Terre.



Nous vous conseillons donc de prendre la direction de votre cinéma le plus proche, car "Nous resterons sur terre" est sûrement un rendez-vous à ne pas manquer!
Green-O-Rama vous offre déjà la bande-annonce officielle du film.